Connaître l’amour dans l’entreprise

Un sondage OpinionWay confirme que l’entreprise est un site de rencontres (presque) comme les autres.

Avez-vous déjà flashé sur un(e) collègue de travail, un supérieur, ou même un client ? Dans un cas sur quatre, les salariés français ont été confrontés à cette situation, parfois embarrassante, indique un sondage OpinionWay réalisé dans le cadre de l’opération « J’aime ma Boîte » pour Le Parisien Economie et RTL.

Aimer son patron

Plus d’hommes (29%) que de femmes (21%) reconnaissent avoir ressenti un coup de foudre sur leur lieu de travail, et l’Ile-de-France semble être la région la plus propice à ce type de rencontres professionnelles qui, pour le meilleur et parfois pour le pire, se muent en relations amoureuses. Pour 7% des sondés, ce miracle s’est même produit plusieurs fois, preuve que l’entreprise est aussi lieu de tentation où les hommes et les femmes se croisent et se montrent sur leur meilleur jour, en valorisant ce qu’ils ont de mieux, c’est-à-dire leur originalité et leur talent.

la reconnaissance, qu’elle soit amoureuse ou purement professionnelle, est d’ailleurs un gage d’efficacité pour le salarié qui la recherche : pour pouvoir donner le meilleur d’eux-mêmes, 72% des salariés affirment avoir « besoin de se sentir aimés par leur patron ». Plus encore (76%) recherchent se soutien auprès de leurs collègues de travail. C’est patffois compliqué car les relations hiérarchiques restent parfois compliquées : 51% des salariés affirment « aimer son boss » (l’autre moitié non). Et le don de soi reste lié à la fierté que l’on ressent à travailler pour la marque qui nous emploie : 66% des sondés disent « aimer leur boîte », un niveau en baisse de 4 points par rapport à l’an dernier. Cette proportion était tombée à 64% en 2011 (64%) et remonté à 73% en 2013, loin des niveaux atteint dans les années 2000 (79%).

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Journaliste de formation, j'occupe actuellement la fonction de rédacteur au sein du réseau des sites Internet de services aux entreprises du groupe Libbre. Je peux justifier d'une expérience de six ans dans la presse quotidienne angevine au sein de trois quotidiens : la Nouvelle République, Ouest-France puis le journal majoritaire en Maine-et-Loire : le Courrier de l'Ouest (2007-2009).

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