Les sociétés de capital investissement

Pour les porteurs de projets innovants, les sources de financement classiques sont parfois insuffisantes. Le suivi du développement d’un projet peut être couplé d’une aide financière par capital investissement.

Le développement toujours plus accru des technologies a amené de nombreux porteurs de projets à en faire une spécialité. Pour les créateurs, se tourner vers ce secteur est un choix risqué, mais cela dit très rentable en cas de réussite.
Un créateur finance généralement son entreprise par le biais d’emprunts bancaires classiques, mais les nouvelles technologies requièrent un lourd investissement de départ, ce qui explique la frilosité de certaines banques envers ces porteurs de projet.
Il est alors nécessaire de se tourner vers d’autres sources de financement comme les business angels qui sont de personnes physiques, investissant leur fond propres dans des projets qu’ils trouvent innovants. Ils apportent également leur expérience en gestion d’entreprise.
L’autre alternative de financement qui est aujourd’hui de plus en plus utilisée est le recours aux sociétés de capital investissement.

Les sociétés de capital investissement regroupent plusieurs formes qui suivent l’évolution de la société.

  • le capital risque : lors de la création de la société
  • le capital développement : afin de garantir la croissance de la société
  • le capital transmission : LBO

Ces sociétés ont une importance cruciale dans les créations d’entreprises innovantes. Leur participation est d’ordre financier bien évidemment, mais également d’ordre managérial. Ces sociétés apportent leurs compétences en termes de management et de techniques de gestion. Les sociétés de capital investissement ont de par leur participation au capital, un droit de vote assurant un contrôle efficace.
L’aide des sociétés de capital investissement qui surpasse les prêts classiques apporte aux jeunes sociétés un plus indéniable, leur assurant une meilleure performance financière.

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Journaliste de formation, j'occupe actuellement la fonction de rédacteur au sein du réseau des sites Internet de services aux entreprises du groupe Libbre. Je peux justifier d'une expérience de six ans dans la presse quotidienne angevine au sein de trois quotidiens : la Nouvelle République, Ouest-France puis le journal majoritaire en Maine-et-Loire : le Courrier de l'Ouest (2007-2009).

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