Repreneurs, les audits sont à votre service

Reprendre une entreprise n’est pas une mince affaire, loin de là. Bien qu’au moment de la recherche, les repreneurs peuvent avoir un coup de cœur pour une structure, et même si le choix est plus cartésien, ces derniers peuvent avoir, ce qui est préférable, de nombreuses questions en suspens. L’audit peut lever certains doutes.

Qu’il s’agisse de la viabilité économique d’une entreprise, de son historique, de ses projets, de sa masse salariale ou encore de ses valeurs, le repreneur doit être informé d’un maximum d’informations, ainsi son choix sera optimal, et surtout,pondéré. Afin de l’aider dans cette démarche complexe, le repreneur peut et doit s’appuyer sur des audits, ceux-ci le guideront pour négocier le prix, et pour, savoir si des squelettes se trouvent bien cachés dans les placards.

Les audits limitent les risques de mauvaises surprises

Alors que la situation économique n’est pas réellement favorable, certaines conséquences sont inévitables. Parmi celles-ci, le nombre de transactions est en diminution, notamment en matière de reprise d’entreprise. Les dossiers sont moins nombreux, ce qui complexifie le phénomène sociétal et démographique de la reprise en elle-même.

Les repreneurs disposent en général de plus de fonds que les créateurs (novices comme expérimentés), à ce titre, ils estiment moins nécessiter un accompagnement, or, des experts existent partout au sein de l’hexagone pour les aider et les guider.

Lors d’une reprise, les mauvaises surprises peuvent être diverses, mais toujours désagréables à gérer. Parmi les plus courantes, il est possible de citer un carnet de commandes moins performant que prévu, des soucis latents avec certains employés de la structure reprise, ou encore, une aura bien trop présente du cédant. Dans ces différents cas, le repreneur peut alors être confronté à de graves difficultés pouvant mettre en péril la société elle-même.

Les questions à se poser pour une reprise d’entreprise réussie

Des experts sont au service du repreneur, qu’il s’agisse d’une donnée pécuniaire, sociale ou salariale. Ils peuvent permettre à l’investisseur de se poser les questions clés qui peuvent facilement être éludées. D’autant plus qu’un partenariat avec des spécialistes peut faciliter le travail auprès des banques qui ont besoin de diverses garanties (pas uniquement économiques) pour financer les différents investissements nécessaires. En règle générale, la grande majorité des dossiers où des experts sont intervenus a pu obtenir les crédits demandés sans difficulté majeure.

Une reprise réussie passe aussi par une investigation du repreneur lui-même. Grâce à son réseau et ses connaissances, il pourrait obtenir des informations cruciales relatives à l’entreprise convoitée. In fine, toutes les questions sont bonnes à être posées, sans quoi, les mésaventures peuvent s’enchainer dans les premiers mois de pilotage.

Dans les 10 prochaines années, de nombreuses sociétés seront à céder dans tout l’hexagone. Celles-ci sont, pour une grande majorité, de moins de 5 salariés, voire unipersonnelle. Cela représente de nombreuses opportunités pour rendre pérennes des structures diverses dans de nombreux secteurs. Même si les pouvoirs publics n’ont pas encore réellement mis l’accent sur l’importance, économique et sociale, de la transmission d’entreprise, vous pouvez d’ores-et-déjà partir à la recherche des perles rares.

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Journaliste de formation, j'occupe actuellement la fonction de rédacteur au sein du réseau des sites Internet de services aux entreprises du groupe Libbre. Je peux justifier d'une expérience de six ans dans la presse quotidienne angevine au sein de trois quotidiens : la Nouvelle République, Ouest-France puis le journal majoritaire en Maine-et-Loire : le Courrier de l'Ouest (2007-2009).

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