Les outils bureautiques font partie intégrante de l’environnement de travail au sein d’une entreprise. Ce sont des éléments qui permettent de mener à bien des transactions internes et externes dans le cadre des activités de votre société. Par conséquent, il est important de les maîtriser convenablement. Cet article vous présente les différentes raisons qui justifient une telle importance. Maîtriser les outils bureautiques : un gage de productivité Avec l’évolution fulgurante de la technologie, vous devez nécessairement disposer des aptitudes avérées en outils bureautiques si vous souhaitez occuper un poste. Cela fait partie des critères de sélection, car il s’agit d’un aspect qui influence votre performance au service de l’entreprise. Ainsi, une méconnaissance de ces éléments peut handicaper votre accession à un poste ou votre promotion au sein d’une organisation. Pour effectuer une tâche basique avec le logiciel OneNote, vous risquez de perdre du temps à chercher les notions de base. Dans ce type de situation, vous perdez du temps et l’organisation qui connaîtra sans doute une baisse de productivité. C’est justement pour cette raison que vous devez suivre une formation OneNote pour vous mettre à niveau. Cela vous permettra également de ne pas être considéré comme le maillon faible de l’entreprise. Si vous arrivez à maîtriser cet outil performant, vous pouvez désormais centraliser tous vos documents, vos ressources ainsi que les notes manuscrites d’un projet au même endroit. Les outils bureautiques pour un travail de qualité Lorsque vous vous faites former en outils bureautiques, vous pouvez facilement et qualitativement réaliser vos tâches. Que vous soyez le personnel d’une grande organisation ou un simple secrétaire, cette connaissance doit obligatoirement être au cœur de votre travail. Cela vous permet d’avoir un rendement parfait dans tout ce que vous faites. À titre illustratif, avec certains logiciels comme Word, Excel ou PowerPoint, vous pouvez accomplir des tâches avec professionnalisme. Il peut être question de la mise en forme d’un document ou d’un courrier, l’automatisation de leur mode de présentation. On peut aussi parler d’un projet ou encore d’un calcul très complexe, d’une gestion de budget et de l’exploitation des données. En maîtrisant tous ces outils, vous pouvez gagner une forte estime auprès de vos collègues et surtout de votre patron. Connaître les outils bureautiques pour le stockage des données Maîtriser l’outil informatique vous permettra de stocker efficacement vos données. Ce faisant, vous serez capable de prouver votre expérience au moment opportun. Le stockage des informations relatives à une expérience professionnelle peut être contraignant si l’on ne maîtrise pas l’outil bureaucratique adapté. Ce n’est qu’une preuve de la nécessité que révèlent les connaissances en bureautique. Les outils bureautiques sont loin d’être des simples accessoires. Ils sont incontournables pour la prospérité d’une entreprise. Plutôt que de vous limiter à vos diplômes et vos compétences basiques, il est important de suivre une formation à ce propos.

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Infogreffe lance une plateforme numérique pour mettre en relation cédants, candidats à la reprise et investisseurs. Il est une casse sociale dont on ne parle jamais ou trop rarement : en France 30 000 entreprises disparaissent chaque année, faute de repreneurs. C’est notamment le cas pour celles qui, confrontées à des difficultés économiques, ont dû se tourner vers le tribunal de commerce pour trouver un investisseur.Le manque d’espace de rencontre entre vendeurs et candidats à la reprise provoque une forme de blocage qui réduit de nombreux projets. Le manque d’information – et de transparence parfois – suscitent des incompréhensions, des doutes, des hésitations qui nuisent aux processus de cession-transmission. C’est pour créer un lien entre offre et demande, et renouer la confiance entre ces deux parties, qu’Infogreffe, le groupement des greffes des tribunaux de commerce français, a lancé sa propre marketplace : ce service en ligne fonctionne comme une plateforme de mise en relation, combiné à un site d’annonces. L’accessibilité aux données essentielles est facilitée par l’usage d’un moteur de recherche gratuit. Celui-ci aussi oriente les utilisateurs vers les offres les plus pertinentes, filtrées, triées et classées selon une quinzaine de critères généraux (localisation, domaine d’activité, chiffres) ou plus ciblés (« Made in France, bio etc…). L’outil présente d’autant plus d’intérêt pour les potentiels acheteurs qu’il répertorie des informations fiables et certifiées issue des ressources des tribunaux de commerce. Le site compile une série de fiches d’entreprises détaillées reliée aux annonces diffusées, et propose un service d’alertes mails afin de faciliter l’identification d’offres en phase avec les vœux des candidats à la reprise.Les annonces sont déposées par les cédants et/ou des entrepreneurs en quête de partenaires financiers ou d’associés sollicités pour une entrée au capital. Elles proviennent également d’administrateurs et mandataires judiciaires chargés de trouver des solutions de reprise pour des entreprises en difficulté. Infogreffe procède parfois à des mises en ligne automatique après l’ouverture d’un redressement judiciaire. 700 000 entreprises à vendre d’ici 2030 ? Le président du groupement se dit convaincu « que les fonctionnalités de cette nouvelle plateforme, destinées à faciliter les échanges entre cédants, repreneurs et investisseurs, sont de réels leviers de relance économique du pays », dans un contexte incertain et une conjoncture économique qui s’est durcie avec les conséquences économiques de la crise sanitaire. La cession d’entreprise représente un enjeu majeur pour la sauvegarde des emplois : d’après une étude Grant Thornton 21 % des dirigeants de PME françaises ont l’intention de vendre leur entreprise dans les dix prochaines années (500 000 à 700 000 entreprises seraient concernées). Plus de la moitié des cédants (53%) disent maquer d’information pour évaluer à sa juste valeur le prix de vente de leur entreprise, et 50 % « n’ont pas d’idée sur la nature du futur repreneur» (source : Observatoire de la petite entreprise de la Fédération des centres de gestion agréés/Banque Populaire).

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Créer son entreprise et ouvrir une boutique en ligne en 2021 sont deux processus qui ont été facilités pour le grand bonheur des web-entrepreneurs. L’attrait de ce marché tient du fait qu’il donne accès à un marché mondial. Plus de 10 milliards de clients peuvent accéder à votre boutique en ligne, pour peu que vous fassiez ce qu’il faut en matière de référencement SEO, SEA et SMO. Par conséquent, ouvrir une boutique en ligne représente une manne financière incroyable à laquelle très peu d’entreprises physiques peuvent accéder. Le web-entrepreneur devient son propre patron en 30 minutes grâce à une boutique en ligne Ouvrir une boutique en ligne en tant qu’auto-entrepreneur se fait aujourd’hui en quelques clics, car la démarche a été simplifiée. Pour commencer, il serait précoce de vous conseiller d’abandonner votre source de revenu principal. En effet, vous avez besoin de capitaux pour pouvoir investir dans les différents aspects de votre nouveau business. En clair, l’indépendance et la liberté d’accord, mais la prudence d’abord. Après la rédaction de vos statuts, l’enregistrement de votre auto-entreprise aux services des impôts et le dépôt de dossier au CFE, vous êtes sur la bonne voie pour atteindre la liberté financière dont vous avez toujours rêvé. Précisons que dorénavant, tout ceci se fait en ligne en quelques minutes. Vous pouvez ensuite vous tourner vers la meilleure solution pour vous permettre de lancer votre boutique en ligne. Il existe à cet effet des dizaines de plateformes qui hébergent à elle seule des milliers de boutiques en ligne. MyOnlineStore par exemple peut aider à créer sa boutique en ligne. Cette plateforme vous permet de designer facilement votre site d’e-commerce grâce aux nombreux templates à votre disposition mais aussi grâce à l’accompagnement des experts présents pour vous aider. Disposer de son temps et être libre de ses mouvements Quelques mois après vos débuts en tant qu’e-commerçants, vous aurez probablement fait quelques milliers d’euros. Vous pouvez dorénavant disposer de votre temps comme bon vous semble. Vous organiserez vos journées de travail avec des horaires flexibles. Vous pourrez travailler de n’importe où sur le globe sur votre boutique en ligne, de jour comme de nuit. Ce qui importe dans ces conditions, c’est que vous ayez une bonne connexion internet. Ouvrir une boutique en ligne pour accéder à un nombre illimité de clients Une boutique en ligne est une porte ouverte sur le monde. Votre e-boutique dépasse toutes les espérances d’une petite boutique de quartier. La preuve, les clients restent les mêmes lorsque vous possédez un petit magasin de quartier. Cependant, lorsque vous sautez le pas avec votre boutique en ligne, vous y accueillerez et traiterez avec de nouveaux clients d’un peu partout dans le monde tous les jours. De plus, contrairement à votre boutique physique de quartier, votre boutique en ligne reste ouverte 24 h/7. Qu’on soit en week-end, un jour férié ou de fête ou que vous dormiez, votre boutique reste fonctionnelle.

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Jusqu’ici très modéré, le taux de défaillances a littéralement explosé à la fin du mois dernier (+155%), indique un rapport d’Altarès. L’impact de la crise sanitaire sur la situation économique des entreprises commence à se faire lourdement sentir. Cette dégradation, de nombreux observateurs l’anticipaient depuis un an, mais les manifestations sensibles de cette lente et douloureuse glissade, atténués par les aides publiques allouées aux secteurs les plus pénalisés par les restrictions, étaient jusqu’à présent restés l’état de latence. D’où l’effet trompe-l’œil des tendances chiffrées présentées ces derniers mois par des instituts spécialisés : à preuve, le cabinet Altarès a comptabilisé 7 406 ouvertures de procédures collectives au cours du premier trimestre 2021, un bilan inférieur de 32 % à ce qu’il était à la même époque en 2020, pourtant encore épargnée par la crise du Covid. Les liquidations directes au plus haut La première partie de mars est l’avenant, avec un nombre de défaillances d’entreprises en repli de 48 %. En revanche, la courbe s’est brutalement détériorée dans la seconde quinzaine avec une explosion de + 155 % des cas de faillites. Un résultat très négatif qu’Altares impute à phénomène mécanique de rattrapage en décalé: il y a un an, date d’entrée en vigueur du premier confinement, les tribunaux de commerce avait fermé et gelé la plupart des procédures en cours. Des dossiers qui réapparaissent aujourd’hui dans les statistiques et s’ajoutent aux nouveaux, directement nés de la crise. D’après le cabinet, ces chiffres ne sont que les prémices d’une mauvaise dynamique qui devrait se confirmer et se poursuivre tout au long de l’année 2021, révélant a posteriori les véritables dégâts économiques provoqués par la pandémie. Il y a d’ailleurs des signes qui ne trompent pas : la part notamment des liquidations judiciaires directes, prononcées sans redressement judiciaire préalable, progresse à un niveau inédit depuis vingt ans, indique le directeur des études chez Altares. En mars dernier, 79 % des jugements rendus, soit environ huit sur dix, ont abouti à des fermetures et des disparitions d’entreprise, sans qu’une solution viable ne soit trouvée pour maintenir leur activité. A l’ordinaire (hors crise), ce taux de liquidations directes atteint 65% des décisions. La perspective d’une réouverture des restaurants, des bars, des salles de sport et de nombreuses galeries commerciales suffiront-elles à enrayer la tendance ? Rien n’est moins sûr car les enseignes concernées, placées depuis plusieurs mois sous perfusion, pourraient souffrir de la fin des aides, et ne pas renouer immédiatement avec un niveau de consommation suffisant pour leur permettre de se relever sans dommages.

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Depuis un an, les aides destinées à amortir les effets économiques de la crise sanitaire ont spectaculairement réduit le nombre de défaillances. La bombe est-elle à retardement ? En temps normal, les observateurs auraient vanté l’excellence des chiffres, reflet d’une conjoncture on ne peut plus favorable pour les entreprises. Avec 33 189 cas de faillites enregistrées par les tribunaux de commerce en 2020, les tendances ont, il est vrai, de quoi réjouir, même si les cassandres diront –avec raison – que c’est toujours trop. Car c’est bien d’un quasi record dont il est question. Pas à la hausse, comme on aurait pu s’y attendre après l’année horribilis que fut 2020, brutalement secouée par une crise sanitaire d’une ampleur inédite dans les économies modernes, mais à la baisse : depuis 30 ans, jamais le nombre de faillites n’avait été aussi faible en France. Le cabinet Altarès en a comptabilisé environ 33 000 l’an dernier, soit une baisse de 38% par rapport à 2019. Etonnant résultat après deux périodes de confinement, dont la première, entre mars et mai 2020, avait mis à l’arrêt la quasi-totalité des secteurs d’activité. Après une brève respiration l’été dernier, les plus de 200 000 établissements de café-restauration ont dû se soumettre à des fermetures administratives qui se poursuivent encore aujourd’hui (les discothèques, elles, sont closes depuis un an sans interruption). La différence avec la crise financière de 2008, c’est que l’Etat français a, cette fois-ci, tenté de sauver les meubles en déployant une impressionnante artillerie d’aides destinées à amortir les effets économiques des restrictions sanitaires : le chômage partiel avait été très utilisé au printemps 2020 et un fonds de solidarité finance encore aujourd’hui les charges fixes supportées par les entreprises sans activité. Les prêts garantis par l’Etat (plus de 30 milliards d’euros) ont permis de maintenir à flot les trésoreries de très nombreuses entreprises. Le cumul de ces dispositifs a permis aux entreprises de survivre, note le président de GSC, une association qui informe les dirigeants sur les risques de leur perte d’emploi. A terme, l’effet boomerang peut être tout aussi brutal : quelle sera le réel état de santé des entreprises qui sont aujourd’hui placées sous perfusion ? (beaucoup d’assignations pour non-paiement de dettes avaient été gelées jusqu’à la fin de l’été 2020). Se déclarer en faillite auprès d’un tribunal de commerce ne signifie pas la disparition automatique de l’entreprise : des procédures alternatives à la liquidation existent pour relancer l’activité et trouver des solution destinées à apurer les dettes : parmi elles, les redressements judiciaires diminue de près de 50% par rapport à 2019. Les mesures de sauvegarde, appliquées préventivement dans les structures en difficulté qui cherchent à aménager leur créance, «recule de 14 % avec 833 jugements» signale Altarès Cette procédure collective est très utilisée dans les PME de plus de 50 salariés (+ 12%). Elle diminue en revanche dans les plus petites structures (-15% par rapport à 2019). Quant à la part des liquidations, elle est en repli de 30%

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Cet effort budgétaire inscrit dans la stratégie du plan de relance post-covid, porte essentiellement sur les taxes locales qui frappent la production des entreprises. Dans le plan « Bâtir la France de 2030 » présenté en septembre 2020 par le ministre de l’Economie Bruno Le Maire, figurait un volet fiscal qui prévoit la réduction des impôts locaux mis en place après la suppression de la taxe professionnelle il y a dix ans. Cette mesure, très attendue par les entreprises, a été incluse dans la dernière loi de finances soumise au Parlement et votée par les députés en fin d’année dernière. Elle s’appliquera donc dès 2021 et sera pérennisée par la suite, pour un total de 20 milliards d’euros répartis à parts égales sur deux ans. Le texte acte des allègements sur impôts dits « de production » qui frappent, à travers la cotisation sur la valeur ajoutée (CVAE), la richesse produite par les entreprises, mais aussi leurs biens immobiliers avec une Cotisation Foncière reversée aux communes. Ces deux taxes sont les deux composantes de Contribution Economique Territoriale (CET), instaurée en 2010 en lieu et place de la TP. Création d’un bâtiment : une exonération de trois ans Concrètement, les textes prévoient de supprimer la part de la CVAE affectée aux Régions, soit 50% du produit de cet impôt due par les entreprises qui enregistrent un chiffre d’affaire de plus de 500 000 euros (une décision qui passe mal au sein des collectivités concernées). La cotisation foncière des entreprises (CFE) et la taxe foncière sur les propriétés bâties (TFPB) sont également réduites de moitié.Une autre mesure complémentaire abaisse de 3 à 2 % le niveau plafonnement de la CET : jusqu’ici les entreprises qui étaient les plus lourdement prélevées avait la possibilité de solliciter cette « niche » pour réduire leur charge fiscale. Désormais, la demande d’un dégrèvement s’applique dès que le taux d’impôt initial dépasse 2%. Enfin, les entreprises qui investissent dans un bâtiment (création ou extension) sont potentiellement éligibles à une exonération totale de CFE, et donc de CVAE, pendant 3 ans (la demande est examinée par les collectivités qui perçoivent ces recettes fiscales). Pour rappel, l’intégralité de la Cotisation foncière des Entreprises entre dans les caisses des communes autres EPCI. Ils perçoivent également une pourcentage de la CVAE que se partagent aussi les Régions et les Départements à hauteurs respectives de 50% et 23,5%. Selon le premier ministre Jean Castex, ces allégements fiscaux ciblent « à 74 % le TPE, PME et entreprises de taille intermédiaire» et visent à accroître la compétitivité des territoires et améliorer les marges de nombreux secteurs d’activité, et notamment des établissements industriels qui supportent à eux seuls 20% de la contribution. Le Ministère de l’Economie précise que « les petites entreprises non redevables de la CVAE – parce que leur chiffre d’affaires est inférieur à 500 000 € – « bénéficieront sous condition de la baisse du taux de plafonnement de la Cotisation économique territoriale.

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La domiciliation est obligatoire pour tous ceux qui souhaitent créer une entreprise. En cherchant un prestataire qui s’occupe des formalités administratives, vous constaterez que les choix sont nombreux. Vous devez ainsi prendre en compte certains éléments avant de choisir celui qui puisse répondre à vos besoins. Pour cela, vous avez les comparateurs de domiciliation d’entreprise en ligne. Qu’est-ce que la domiciliation d’entreprise ? La domiciliation est une étape obligatoire dans la création d’une entreprise. C’est l’étape où vous devez déposer une adresse fiscale et administrative. Cette adresse vous permettra de recevoir le courrier lié à votre activité. En sautant cette étape, vous ne pourrez pas recevoir un numéro de SIRET. Sans ce numéro, votre entreprise ne figurera même pas dans le RCS ou le Registre du Commerce et des Sociétés. Autrement dit, votre entreprise ne sera pas reconnue légalement et sera considérée comme une entreprise clandestine. Votre expert en domiciliation entreprise à Paris vous proposera plusieurs solutions pour cela. Vous pouvez utiliser l’adresse de votre domicile, ce qui représente moins de dépenses, mais vous devez y travailler. Trouver un local est plus coûteux, mais votre entreprise bénéficiera d’une image plus professionnelle. Il est également possible d’opter pour les incubateurs d’entreprises, notamment pour les jeunes qui débutent dans ce business. Bien que le choix d’adresse de domiciliation soit plus ou moins limité pour cette dernière solution, le fait de rencontrer d’autres entrepreneurs présente beaucoup d’avantages. Comment choisir une société de domiciliation ? Si vous n’arrivez pas à vous décider sur le choix de type de domiciliation, faites appel à un prestataire spécialisé dans ce domaine. Il trouvera certainement une solution adaptée à votre situation et à vos besoins. Grâce à son intervention, vous bénéficierez d’une adresse fiscale, postale et administrative. Grâce à cela, vous réaliserez des économies considérables. Vous n’avez pas à louer un local, vous n’êtes pas obligé de penser aux diverses charges comme l’eau ou l’électricité et vous gagnerez énormément du temps. À noter que le choix de domiciliation ne se fait pas par hasard, sachant que le lieu dépend les impôts que vous paierez. Si vous optez pour Paris par exemple, votre entreprise gagnera beaucoup de valeur, rien qu’en s’installant dans une capitale. En plus, Paris est réputée pour être une ville où il est facile de vivre. Comme les sociétés de domiciliation vous proposeront des offres variées, vous devez prendre le temps de sélectionner celle qui vous convient. C’est pourquoi l’utilisation d’un comparateur en ligne est fortement recommandée. Comment comparer les sociétés de domiciliation d’entreprise ? Pour répondre à toutes vos questions relatives au choix de société de domiciliation, un comparateur en ligne vous répondra en quelques clics seulement. Pour cela, vous devez suivre quelques étapes. Tout d’abord, définissez ce dont vous avez réellement besoin. Quels services avez-vous besoins ? Où souhaitez-vous vous installer ? Quel est votre budget ? N’oubliez pas d’inclure le montant de la CFE dans votre carnet. Grâce à cette liste, il vous suffit de rayer les sociétés qui ne répondent pas à

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Les entreprises peuvent être amenées à externaliser certains services dont elles n’ont pas l’expertise afin de se concentrer sur leur cœur de métier. C’est notamment le cas du transport et de la logistique. Face aux besoins d’acteurs tels que la grande distribution pour ne citer qu’un seul secteur, des entreprises ont su développer leur propre expertise, proposant ainsi les moyens techniques et infrastructures nécessaires pour assurer ces services dans les meilleures conditions. En savoir plus sur la plus-value proposée par les professionnels du secteur. Quels sont les enjeux de la logistique ? Vous êtes-vous déjà interrogé sur le trajet réalisé par les produits que vous commandez sur internet ou ceux que vous achetez en magasin, entre le moment de leur production et leur arrivée sur le lieu de vente ? C’est grâce aux entreprises de logistique que ces produits vous parviennent en temps et en heure, en bon état et en sécurité. La logistique consiste dans la gestion des flux et la mise à disposition des ressources et moyens nécessaires pour permettre aux entreprises de s’approvisionner chez leurs fournisseurs. Globalement, cela se traduit par plusieurs fonctions essentielles : le transport, la réception, le stockage et l’expédition des marchandises. La logistique revêt un rôle crucial dans le bon fonctionnement et la performance de nombreuses entreprises, puisque s’agit de mettre à disposition le bon produit au bon moment, au bon endroit et au meilleur coût. L’expertise des entreprises de logistique Comme évoqué dans les lignes précédentes, les services de logistique peuvent difficilement être assurées par les entreprises de production elles-mêmes, qui doivent se concentrer sur leur cœur de métier. Afin d’assurer la distribution de leurs produits auprès des revendeurs, les entreprises s’appuient donc sur des experts de la logistique. Les entreprises de logistique se caractérisent par la mise à disposition d’espaces de chargement, de stockage et de déchargement, ainsi que par des moyens techniques pour assurer une parfaite traçabilité des flux de marchandises. Elles vont également assurer les services routiers par leurs propres moyens si elles disposent d’une flotte de véhicules ou en faisant appel à des transporteurs routiers. Tout au long de ce processus, l’entreprise de logistique va garantir la traçabilité, l’intégrité et la sécurité des marchandises en transit ou en stockage. Elles vont assurer des prestations adaptées à la nature des produits pris en charge : le respect de la chaîne du froid, la protection contre les intempéries et l’entreposage sur des mobiliers et rayonnages adaptés. Véritable « hub » par lesquelles transitent des quantités considérables de marchandises, les plateformes logistiques sont l’épine dorsale de l’économie sur laquelle s’appuient de nombreux fournisseurs. Leur but est d’améliorer la gestion globale des flux logistiques, et donc la performance des entreprises et la satisfaction des clients finaux.

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Une application mobile est une version améliorée et plus accessible d’un site web d’entreprise. En réalité, une personne consulte son téléphone 150 fois par jour en moyenne. L’application permettra donc à chaque client d’avoir toutes les fonctionnalités de l’entreprise dans ses poches. A part cela, de nombreux avantages et utilités sont à prendre en compte. La création et le développement d’applications mobiles pour les entreprises Il est souvent difficile pour une entreprise de développer une application mobile. Avant de la créer, il faudra définir les cibles. Une application n’est pas conçue pour l’usage exclusif du consommateur. Elle doit aussi servir pour communiquer avec les partenaires de la société. Pour cela, il convient contacter une agence développement application mobile afin de concevoir une application sur-mesure. Ce prestataire définira la destination et l’utilisation de l’application. Les applications varient en fonction des cibles. Elles s’adressent notamment aux collaborateurs, au grand public, aux partenaires et clients, aux entreprises de toute taille ou même aux collectivités. Concernant la création de l’application, l’entreprise a besoin d’une équipe multitâche ayant de l’expérience en développement de logiciel. Leur domaine d’expertise doit couvrir tous les types de mobiles ainsi que les types de design et les codes. L’équipe doit proposer de suivre le client dans toutes les étapes du projet. Elle s’engagera donc à offrir un produit à la hauteur des attentes de l’entreprise en termes d’ergonomie et d’esthétique. Les avantages de l’application mobile par rapport au site web d’entreprise L’avantage principal de l’application consiste à optimiser la notoriété des marques pour améliorer leur visibilité. Le lancement de l’application fera plus de bruit que celui d’un site web. Elle devra utiliser les objets connectés pour une meilleure interaction avec les clients de l’entreprise, car le téléphone portable restera l’outil de marketing par excellence. Elle doit être accessible car le Projet web commence toujours par le site et s’améliore par l’application. Les informations y sont plus ajustées pour leur affichage et l’ergonomie. Elle apporte aussi une nouvelle expérience en termes de prise en main et de navigation grâce à son interface standard. En plus de cela, elle peut envoyer des notifications aux utilisateurs, ce qui attire leur attention plus rapidement. Grâce aux fonctionnalités du Smartphone, l’entreprise pourra connaître la provenance de son audimat à l’aide du GPS. Le contenu de l’application ne devrait pas toujours nécessiter la connexion internet pour que les clients en profitent au maximum. Le mobile est aussi utilisé dans les moments de détente des clients, ce qui apportera plus de visibilité à l’entreprise en dehors des heures de travail de ses consommateurs. Ils peuvent toucher l’icône de l’application au lieu d’aller sur un navigateur et d’effectuer des recherches. Cela leur fournira un gain de temps significatif. Les contenus mobiles peuvent être monétisés et constituent une source de revenus supplémentaires dans l’entreprise.

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Le nombre d’immatriculations, qui a bondi de +38% le mois dernier, renoue avec son niveau d’avant-crise, indique l’Insee. Souvent présentée comme une porte d’entrée vers l’emploi, quand celui-ci se fait rare dans le secteur salarial, la création d’entreprise a repris des couleurs à la fin du printemps, un peu plus d’un mois après le déconfinement. Les recensements effectués par l’Insee attestent que les initiatives ont été plus nombreuses en mai et en juin, et que les projets se sont concrétisés en masse, au point de compenser (sans l’effacer pour autant) l’immense trou d’air qui s’est formé en mars et surtout en avril, au plus fort de la crise sanitaire. La période printanière marquée par la levée partielle du blocage économique (après le 11 mai) a coïncidé avec un premier gros sursaut (+ 54 400 créations), soit 20 000 de plus sur un mois. La dynamique s’est donc poursuivie en juin, avec un flux de 75 000 immatriculations supplémentaires, un résultat qui dépasse même légèrement les niveaux dits « normaux » atteints en janvier et février derniers, juste avant que la vague épidémique ne se déclenche. Entrepreneuriat en hausse dans la restauration rapide Traditionnellement, l’Insee catégorise ce bilan en deux parties : les entreprises classiques d’un côté (statuts individuels ou formes sociétaires de droit commun) et les micro-entreprises rattachées à un régime fiscal et social plus simple et avantageux (destinées aux « petits » entrepreneurs soucieux de limiter les risques au lancement et/ou ceux qui cherchent à créer leur propre activité pour se doter d’un revenu d’appoint, en complément d’une pension de retraite ou d’un poste salarial). Les chiffres de juin montrent que la part des premières dans le total des créations progresse de + 43,2 % (+ 38 000 environ) et les secondes de +33,6% (+ 37 000). Ces dernières, toujours majoritaires dans les statistiques, sont soumises, rappelons-le, à des plafonds de chiffres d’affaires (176 200 pour l’achat/revente de marchandises et l’hébergement, 72 500 euros pour les prestations de services), valeurs de référence qu’elle ne doivent pas dépasser, sous peine de perdre leurs avantages et de basculer dans le régime classique. Comment se sont réparties les créations d’entreprises en juin dernier ? Un fort rebond a été enregistré dans un secteur pourtant très durement touché par la crise du Covid-19, l’hébergement et la restauration – surtout rapide, à savoir le monde des fast foods – (+75,3 %). Viennent ensuite les activités de transport et entreposage (+72,5 %) essentiellement dans la livraison à domicile.

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