Le tableau de bord est un outil moderne et pratique utilisé aujourd’hui par les directeurs généraux et les cadres dirigeants pour évaluer l’activité d’un service. Le reporting est l’application la plus utilisée du Business Intelligence. C’est pourquoi les directeurs s’en servent pour mieux évaluer l’activité de leur entreprise. Afin d’analyser l’activité de chaque département de leur entreprise, les dirigeants peuvent utiliser des instruments de pilotage performants. Les experts en logistique vous recommandent d’utiliser les tableaux de bord et de reporting lorsque vous évaluez l’efficacité commerciale de votre business pour pouvoir prendre les bonnes décisions. Le rôle du tableau de bord Le tableau de bord est un outil de pilotage très pratique. Il vous permet de mesurer l’activité d’un salarié, d’un département ou plus généralement de l’ensemble de votre entreprise. Dans la plupart des cas, cette évaluation peut être réalisée sans grands efforts à partir de données qui proviennent de plusieurs sources. Le rôle du tableau de bord est de vous fournir une vision synthétique du rendement d’un employé ou d’une équipe entière. Cet outil pratique et moderne s’adapte à tous les secteurs d’activités. Il peut être utilisé par les cadres dirigeants, mais aussi par le directeur général, les directeurs commerciaux ou les Ressources Humaines. Choisir des logiciels de reporting sur mesure L’informatique décisionnelle est également connue sous le nom de « Business Intelligence » (BI). Elle est au cœur du management opérationnel. L’informatique décisionnelle désigne les méthodes, les outils et les moyens qui permettent aux dirigeants d’entreprise de collecter, modéliser, consolider et restituer les données matérielles ou immatérielles. Les décideurs font généralement appel aux logiciels de Business Intelligence pour avoir une vue d’ensemble de leur activité. Ayant accès à des informations détaillées de chaque service, ils peuvent prendre les meilleures décisions pour améliorer le rendement des salariés travaillant dans le département concerné. Les experts d’Inside-reporting.fr vous proposent des logiciels de tableau de bord performants qui peuvent s’adapter facilement à presque tous les métiers. Grâce à ces logiciels personnalisables, vous avez la possibilité de mieux piloter l’activité de votre entreprise. Cela vous permettra de prendre les meilleures décisions pour optimiser le rendement de vos employés et booster ainsi votre chiffre d’affaires. Sur le site Inside-reporting.fr, vous pouvez demander une démo web afin de mieux comprendre le fonctionnement du logiciel Inside Reporting et des autres outils qu’ils vous proposent à présent.

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Lors d’un contrôle fiscal, les chefs d’entreprise ont le droit de se faire accompagner d’un expert-comptable, d’un avocat fiscaliste ou d’un autre professionnel de la filière. Qu’il s’agisse d’un avis de vérification de comptabilité ou d’un avis d’examen de comptabilité, le document doit vous être envoyé par courrier recommandé avec accusé de réception. A partir de cette année, le contrôle fiscal peut être réalisé soit sur place, soit à distance. Afin d’éviter toute mauvaise surprise, il est recommandé de vous faire accompagner par un expert-comptable fiable ou par un avocat fiscaliste. Ces derniers possèdent les connaissances et les compétences nécessaires pour vous aider à surmonter les difficultés des contrôles de l’administration fiscale. Vérifier les coordonnées de l’inspecteur Si le contrôle fiscal est réalisé sur place, vous recevrez un avis de vérification de comptabilité. S’il est réalisé à distance, depuis les bureaux de l’administration, vous en êtes informé par la réception d’un avis d’examen de comptabilité. Dans les deux cas, vous recevez au siège social de votre entreprise un document qui comporte plusieurs informations, à savoir le nom de l’inspecteur et le nom du supérieur, les coordonnées du service, ainsi que le nom et l’adresse de l’interlocuteur départemental auquel vous pouvez vous adresser en cas de problème. Le document précise également les exercices contrôlés. Qu’il s’agisse d’un avis de vérification de comptabilité ou d’un avis d’examen de comptabilité, il vous est envoyé par courrier en recommandé avec accusé de réception. La Charte des droits et obligations du contribuable vérifié Les experts en comptabilité vous recommandent de naviguer sur le site Internet de l’administration afin de consulter la « Charte des droits et obligations du contribuable vérifié ». De cette manière, vous saurez avec précision ce que vous devez faire et ce qu’il est déconseillé de faire lors d’un contrôle fiscal sur place ou, selon les cas, à distance. La Charte des droits et obligations du contribuable vérifié précise que le chef d’entreprise peut se faire accompagner par un avocat fiscaliste ou par un autre professionnel de la filière, y compris par un expert-comptable. Les spécialistes de Strego peuvent vous aider à bien préparer tout contrôle fiscal. Ils ont une très bonne connaissance des lois en vigueur et vous donnent des conseils sur mesure quelle que soit la forme et la taille de votre structure. Si nécessaire, les experts de Strego peuvent prendre en charge l’intégralité de vos opérations comptables pour que vous puissiez ensuite correctement votre bilan prévisionnel et votre bilan comptable.

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Avant d’installer une ruche en milieu urbain ou dans une entreprise, il faut consulter attentivement les réglementations en vigueur. Les professionnels vous recommandent également de vous renseigner sur les arrêtés préfectoraux de votre département. De cette manière, vous pourriez bien choisir l’emplacement de vos ruches. Afin de sauvegarder les abeilles, de plus en plus de chefs d’entreprise demandent l’aide des apiculteurs professionnels pour installer correctement des ruches sur leur toiture ou dans leur jardin. Les experts de la filière connaissent en détail les lois actuelles et peuvent vous donner des conseils sur mesure pour mener à bonne fin votre projet écologique. Consulter les arrêtés préfectoraux Avant d’installer toute ruche dans votre jardin ou sur les toits de votre entreprise, il est recommandé de consulter en amont toutes les réglementations en vigueur, y compris les arrêtés préfectoraux de votre département. En général, les arrêtés préfectoraux prescrivent la distance avec le voisinage que vous devez respecter lorsque vous choisissez l’emplacement de vos ruches. Il faut préciser que le maire peut interdire l’implantation de certains ruchers s’ils sont trop proches des écoles ou d’autres établissements d’enseignement. En règle générale, l’emplacement doit être à l’abri de l’humidité et du vent pour que les abeilles puissent butiner en toute sérénité. Collaborer avec des professionnels qualifiés Pour éviter toute mauvaise surprise, il est crucial de collaborer avec des apiculteurs diplômés et qualifiés qui possèdent les compétences requises pour vous accompagner dans la réalisation de votre projet. Dans certains cas, ils peuvent prendre en charge l’entretien régulier de vos ruches si vous ne disposez pas pour l’instant des équipements de protection adéquats. Les apiculteurs professionnels vous donnent des conseils personnalisés pour que vous réussissiez à protéger vos essaims d’abeilles des attaques des frelons à pattes jaunes et des autres insectes dangereux. Selon vos envies, ils organisent également des formations à l’apiculture au bénéfice de vos employés au sein de votre entreprise. Les spécialistes d’Apiterra possèdent une vaste expertise dans l’apiculture et peuvent vous accompagner dans le choix du meilleur emplacement pour vos ruches d’entreprise. En fonction de vos besoins, ils peuvent organiser des animations autour des abeilles et des formations à l’apiculture dans vos locaux professionnels. Ils vous aident à accomplir votre mission dans les meilleurs délais. Sur leur site Internet, vous pouvez découvrir leur savoir-faire et les services qu’ils offrent à présent en France, en Belgique et au Luxembourg.

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Le compromis auquel les partenaires sociaux ont abouti sur l’assurance-chômage prévoit bien une ouverture du système aux travailleurs indépendants. Mais les conditions d’entrée pourraient être défavorables à ceux qui exercent une activité sous le régime de l’auto-entreprise. Outre le nouveau droit d’indemnisation accordé aux salariés démissionnaires, le projet de réforme de l’assurance chômage prévoit, comme s’y était engagé le candidat Emmanuel Macron pendant la campagne présidentielle, d’étendre la couverture aux travailleurs free lance. Le texte sur lequel les partenaires sociaux se sont accordés cette semaine confirme la mise en place de cette nouvelle protection qui prendrait la forme d’un régime « distinct » de l’Unédic, « public et financé par l’impôt », éventuellement complété par des mutuelles privées. Une condition : la liquidation judiciaire Le principe d’universalité du système, un temps scandé par le président de la République, est toutefois à nuancer : d’une part, les professions libérales, qui n’ont pas cherché à y adhérer, devraient – sans surprise – être exclues du dispositif. De l’autre, seule une liquidation judiciaire serait à même de déclencher le versement des prestations, une condition qui réduit fortement le périmètre d’indemnisation dans la mesure où une telle procédure implique un haut niveau d’endettement. Or, les micro-entreprises en faillite passent rarement par cette voie, pour des raisons qui tiennent à la spécificité de leur statut (à preuve, seuls 1% des liquidations déclenchées par les tribunaux de commerce concernent ces structures individuelles simplifiées). Impossible en effet pour leur gérant de risquer de grosses sommes d’argent dans un business contraint légalement par des plafonds de chiffres d’affaires à ne pas dépasser. Un risque qu’ils minimisent d’autant plus que de nombreux auto-entrepreneurs engagent leur affaire sur une partie de leur patrimoine personnel. De même, la majorité d’entre eux exercent dans le secteur des services où les besoins en équipement sont peu coûteux et nécessitent peu ou pas d’emprunt bancaire. Enfin, très logiquement, les retraités ou salariés qui exercent une activité complémentaire sous le régime simplifié ne profiteraient pas de l’extension de l’assurance chômage aux indépendants : leurs statuts principaux respectifs leur offre déjà une protection sociale.

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L’entreprise est aujourd’hui amenée à évoluer rapidement, en s’adaptant aux nouvelles tendances  telles que l’agilité. Tout ceci pour répondre aux besoins du consommateur. Évolution positives des techniques managériales en entreprise avec l’agilité L’agilité amène les entreprises à réviser et à faire évoluer leurs techniques managériales. Cette nouvelle stratégie est tout le contraire de ce qui se faisait depuis l’émergence de la société de consommation. Dans les années 60, l’entreprise était considérée comme un bloc unique, ayant une hiérarchie et une structure centralisée. Aujourd’hui, elle s’apparente plutôt à un ensemble de plusieurs unités. Ces dernières sont très connectées entre elles et partagent les mêmes valeurs, les mêmes processus et n’ont qu’un but, celui d’évoluer dans la même direction. L’échange et le partage d’informations entre ces entités se font très rapidement. On parle d’avancée technologique, en matière de gestion interne comme en matière de gestion de relation client. Le logiciel agile va dans cette même perspective d’évolution. Essai de définition de l’agilité en entreprise L’agilité dans une entreprise est une notion complexe. Ces définitions ne manquent pas. En effet, chaque expert ou consultant de logiciel agile définit à sa manière le terme, suivant le cadre de référence de son expertise. Ceci étant, l’agilité n’a donc pas une mais plusieurs définitions, qui apportent chacune un point de vue différent à un même sujet. Toutefois, la carte de l’organisation propose une définition basée sur quatre axes d’évolutions. On parle ainsi de la montée : –    de la complexité –    de l’individualité (reconnaissance de la compétence de chacun à penser et agir, consommateur ou producteur) –    de l’incertitude, qui implique le besoin d’anticiper dans le but d’améliorer les capacités de réaction de chaque individu. Le fait d’anticiper permet en effet de mieux se préparer à chaque éventualité et donc de pouvoir réagir rapidement le moment venu. –    de l’interdépendance, qui sous-entend un esprit de partage du pouvoir. On parle ici de coopération croissante entre acteurs privés et publics. Comment détecter un besoin d’agilité ? Dans les petites entreprises, certains signes peuvent aider à la détection d’un besoin d’agilité. On peut ainsi en dresser une liste, non exhaustive : –    baisse de créativité ou de rythme de production de nouveaux services ou produits ; –    absence du produit ou du service apprécié par les consommateurs sur le marché ; –    diminution des performances globales ; –    émergence d’une nouvelle concurrence avec de nouvelles approches plus efficaces, qui menace l’activité ; –    manque de véritables engagements des collaborateurs S’inspirer des méthodes agiles en informatique Dans le domaine informatique, la notion d’agilité n’est pas une nouveauté. D’ailleurs, le manifeste agile a été clairement destiné à une gestion des projets informatiques. Parmi les 12 principes énoncés dans ce manifeste pour le logiciel comme la méthode scrum, trois ont une portée générale, valables pour les petites entreprises. Le premier s’intéresse à la satisfaction client, en livrant de manière régulière et rapide des fonctionnalités à grande valeur ajoutée. Le second principe énonce le fait d’accueillir positivement les changements de besoins, même

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La quasi-totalité des défaillances recensées sur un an concerne des micro-entreprises. Au cours de la dernière année, 57 318 structures ont eu à faire au tribunal de commerce suite à des difficultés économiques : 94,5% de ce total arrêté à fin février 2017 par la banque de France est constitué de micro-entreprises, le plus souvent individuelles. La part restante concerne 1.809 TPE, 937 petites entreprises, 334 entreprises de taille moyenne et 31 grandes entreprises ou Etablissements de taille intermédiaire (ETI). L’ensemble de ces faillites est en baisse de -7,5% sur la période en considération, soit les douze mois écoulés entre février 2016 et février 2017. L’embellie ne profite pas à tous les secteurs : si la situation s’est améliorée dans le bâtiment et le secteur industriel, avec un recul des dépôts de bilan respectivement estimé -12,7% et -9,2%, la détérioration s’est poursuivie dans l’agriculture, sylviculture et pêche (+5,9%) et les métiers du transport, dans lesquels on trouve notamment les taxis confrontés à l’uberisation. L’année a été meilleure pour le commerce et la réparation automobile (-8,4%), comme pour l’hébergement et restauration (-7,7%). Selon la Banque de France, ces tendances positives devraient se poursuivre au cours des prochains mois, dès mars avec une nouvelle baisse du nombre de faillites, que la Banque de France anticipe à -6,6%.

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Emmanuel Macon, qui souhaite ramener le taux de chômage à 7% à la fin de son mandat, entend simplifier la tâche des entreprises pour leur permettre de recruter plus et peser davantage dans l’économie mondialisée. S’il dispose, après le 18 juin prochain, d’une majorité parlementaire apte à lui permettre de gouverner sans entraves, Emmanuel Macron va dérouler un programme résolument « pro-business » qu’il souhaite contrebalancer par des mesures fortes en faveur des ménages. Sa feuille de route s’articulera autour de deux grands pôles : le droit du travail et la fiscalité, qu’il souhaite respectivement simplifier et alléger, deux chantiers sur lesquels François Hollande avait buté sous la pression des frondeurs socialistes et la rigueur syndicale. A l’inverse de son prédécesseur, Macron souhaite aller vite, engager un dialogue social express dont la CFDT de  Laurent Berger sera le pivot, et légiférer par ordonnance avant que l’état de grâce sondagier ne retombe dans l’opinion. 20 milliards d’euros de charges en moins Initiée par François Hollande à contrecourant de son programme électoral, la réduction des cotisations payées par les employeurs, qui a couté 20 milliards d’euros aux contribuables via une hausse de la TVA, va être pérennisée par le nouveau président. Objectif : offrir aux entreprises une perspective claire en termes de fiscalité. Les modalités de calcul du dispositif seront maintenues : la baisse s’appliquera sur l’ensemble des salaires versés jusqu’à hauteur de 2,5 SMIC avec une exonération total pour une rémunération au minimum légal. Un impôt sur les sociétés à 25% C’est l’une des promesses phares d’Emmanuel Macron : ramener, à la fin du quinquennat, l’impôt sur les bénéficies « dans la moyenne européenne ». La moitié du travail a été faite par le gouvernement précédent : dès 2017, il est déjà prévu que taux de prélèvement de l’IS passe de 33% à 28% pour les PME et les TPE dans la limite de 75 000 euros de bénéfices. Ce taux intermédiaire sera étendu à toutes les entreprises en 2020 quel que soit le niveau de résultats. Il restera deux ans à Emmanuel Macron pour parachever le projet et atteindre son objectif de baisse fiscale jusqu’au taux de 25% La taux minimal de 15% sera maintenu pour les petites entreprises qui réalisent un chiffre d’affaires inférieur à 7,63 millions d’euros. Un doit du travail « flexible » C’est la réforme de tous les dangers pour Emmanuel Macron. François Hollande avait fait un pas avec la Loi El Khomri en généralisant les accords d’entreprises sur la durée de travail, avec une baisse des majorations appliquées aux heures supplémentaires. Le nouveau président veut aller plus loin en remettant sur la table un projet de plafonnement des indemnités prud’homales en cas de licenciement illégal, une règle à laquelle la CFDT pourtant réformiste s’était opposée en 2016. L’auto-entrepreneur renforcé Le régime simplifié de la micro-entreprise offrira les mêmes avantages fiscaux et sociaux. meixu : Emmanul Macron souhaite en assouplir le smdoalités afin d’encourager les français à créer leur entreprise : les plafonds de chiffres d’affaires, qui conditionnent actuellement l’exercice d’une activité sous ce statut, seront relevés du double.

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Dans la réalisation de tout projet entrepreneurial, le financement joue un rôle plus qu’important. Sans une ressource financière solide, la concrétisation du plan d’affaires de l’entrepreneur risque de ne pas être faisable. Plusieurs solutions s’offrent au porteur de projet, dont le crédit bancaire. Ce dernier peut prendre diverses formes selon les besoins en financement de l’emprunteur. Parmi les types de prêts dont l’entrepreneur peut bénéficier, le prêt commercial facilite  la réalisation des projets de création d’entreprise. Le prêt commercial pour quel type de projet ? Le prêt commercial représente une ressource idéale pour servir de support à divers types de projets d’entrepreneuriat. Il permet de finance la création d’une entreprise, mais il facilite également la constitution des fonds de roulement, l’achat d’équipements et l’expansion de l’entreprise. L’acquisition de nouveaux locaux ou d’entrepôt peuvent également constituer des motivations pour la demande d’un crédit commercial. Dans ce cas précis, on peut parler de crédit immobilier (pour plus d’information, rendez-vous sur boursedescredits.com). L’emprunteur peut souscrire à une assurance-vie lors de sa demande de prêt. Cette assurance lui apportera une protection abordable à des tarifs concurrentiels. Les conditions requises pour décrocher un prêt commercial Afin d’obtenir un prêt commercial, l’entrepreneur devra respecter plusieurs conditions. Ces critères sont exigés par la banque pour la mise à disposition de la somme nécessaire au porteur de projet. Tout d’abord, les banques prennent en compte la stabilité financière de l’emprunteur. Ce dernier devra justifier une bonne capacité de remboursement pour pouvoir devenir éligible au prêt commercial. Dans un second temps, le créditeur analyse le savoir-être du chef d’entreprise, car la confiance est essentielle dans le secteur de l’entrepreneuriat. Le savoir-être du dirigeant relève de sa bonne foi ainsi que de son sens de responsabilité. L’obtention d’une garantie est primordiale, car elle donnera l’opportunité au créditeur d’assurer le remboursement du prêt le cas où l’emprunteur présente des défaillances de trésorerie. Les garanties sont « collatéral » car elles servent à minimiser les risques d’impayés. Par ailleurs, la solvabilité de l’emprunteur est également mesurée par le capital dont il dispose. Les institutions de crédit et les banques étudient minutieusement cet aspect. L’obtention du prêt commercial dépend de 5 critères au total. Toute entreprise qui souhaite en bénéficier doit démontrer sa fiabilité ainsi qu’une politique de gestion durable et efficace. Les dirigeants ne doivent pas seulement fournir des justificatives dans leur dossier, mais ils doivent également convaincre les banques.

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La part des entreprises ayant recruté au moins un cadre au premier trimestre 2017 progresse de 4 points sur un an. Une reprise qui devrait se poursuivre dans les prochains mois. Le retour (encore timide) de la croissance en 2016 a éclairci l’horizon sur le marché de l’emploi des cadres. D’après une étude réalisée par l’Apec, 59% des entreprises de cent salariés ont recruté au moins un « col blanc » au cours du premier trimestre 2017, tendance en hausse par rapport à l’année précédente (55%). Cette embellie est liée, selon l’Association, à l’amélioration de la conjoncture économique qui, malgré un taux du PIB encore timide l’an dernier (+1,1%), devait se confirmer en 2017 avec un acquis de croissance estimé à +1,1% au terme du premier semestre, « c’est-à-dire le même niveau que pour toute l’année 2016 » se réjouit l’Apec. Mécaniquement, le moral des employés s’est amélioré sans pour autant atteindre l’euphorie : 28 % estiment que leur environnement économique est meilleur qu’auparavant (contre 23 % en 2016. Quant aux prévisions de Pôle Emploi, elles permettent d’entrevoir de bonnes perspectives sur le front du chômage : selon l’administration, les entreprises françaises devraient embaucher deux millions de personnes en 2017, soit 150 000 de plus par rapport à l’année précédente. Un bémol toutefois dans l’étude de l’Apec : 62 % des recruteurs estiment que les recrutements sont difficiles, soit 2 point de plus sur un an, signe que les demandeurs d’emploi trouvent plus facilement un poste aujourd’hui qu’hier. Mécaniquement, le flux de candidats disponibles pour les employeurs se tarit légèrement : . En moyenne, une offre qui attirait 40 postulants en 2016, en attire désormais 37.

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