L’emballage sécurisé des marchandises fragiles est un enjeu crucial dans le domaine du transport. Les risques de dommages durant le transit peuvent entraîner des pertes financières importantes pour les entreprises et compromettre la satisfaction des clients. C’est dans ce contexte que le feuillard de cerclage se présente comme une solution efficace pour optimiser l’emballage et réduire ces risques. Ce matériau, doté de propriétés de résistance et de flexibilité, offre une méthode de sécurisation robuste et fiable. Les défis du transport de marchandises fragiles Pendant le transport, les marchandises fragiles sont confrontées à de multiples risques de dommages. Les secousses, les vibrations, les chocs et les variations de température peuvent tous contribuer à leur dégradation ou à leur bris. Les objets fragiles tels que la verrerie, l’électronique délicate, les œuvres d’art ou les produits alimentaires peuvent être particulièrement vulnérables lorsqu’ils ne sont pas correctement sécurisés. Les dommages peuvent entraîner une perte ou partielle des marchandises, entraînant ainsi des pertes financières importantes pour les entreprises. Outre les coûts de remplacement des produits endommagés, les entreprises peuvent également faire face à des réclamations de clients insatisfaits, entraînant une perte de confiance et une détérioration de leur réputation. De plus, les délais supplémentaires liés aux retours, aux remplacements et aux remboursements peuvent perturber la chaîne logistique et entraîner des dépenses supplémentaires. Pour les clients, les dommages peuvent aussi entraîner des inconvénients, des déceptions et des frustrations. Compromettant ainsi leur satisfaction et leur fidélité envers la marque ou l’entreprise concernée. C’est pourquoi l’optimisation de l’emballage, notamment grâce à l’utilisation du feuillard de cerclage, revêt une importance capitale. Cela sert à réduire ces risques et à garantir l’intégrité des marchandises fragiles tout au long de leur voyage. Des entreprises comme Bulteau Systems sont spécialisées dans la production de ce type de matériau. Les caractéristiques du feuillard de cerclage Le feuillard de cerclage est un matériau utilisé pour sécuriser les marchandises lors du transport. Il existe différents types de feuillard de cerclage disponibles sur le marché, notamment en acier, en plastique (polypropylène et polyester) et en composite. Le feuillard de cerclage en acier : il offre une grande résistance et convient aux charges lourdes, tandis que le plastique est privilégié pour les charges légères à moyennes grâce à sa flexibilité et sa résistance aux intempéries. Le feuillard de cerclage en polyester : il combine résistance et élasticité, idéal pour les charges à haute tension. Les propriétés de résistance et de flexibilité du feuillard de cerclage assurent un maintien sécurisé des marchandises en minimisant les risques de déformation ou de rupture pendant le transport, garantissant ainsi l’intégrité des colis tout au long du trajet Le feuillard de cerclage comme méthode de sécurisation Pour assurer la sécurité et l’intégrité des marchandises fragiles pendant le transport, plusieurs méthodes d’emballage sont disponibles. Parmi elles, le cerclage offre de nombreux avantages. Sa résistance et sa flexibilité fournissent un soutien solide, réduisant ainsi les risques de dommages dus aux secousses et aux chocs. Contrairement à d’autres approches d’emballage, comme les emballages en carton

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L’attestation de dépôt de capital est un document essentiel lors de la création ou du développement d’une entreprise. Il présente plusieurs avantages pour les entrepreneurs et les investisseurs potentiels. Cet article répondra à la question des avantages de ce document. La crédibilité de l’entreprise accrue  Avant de créer votre entreprise, il est souvent recommandé de faire un dépôt de capital vous permettant d’avoir une attestation de dépôt de fond en ligne. À l’endroit de votre entreprise, l’obtention de ce document est source de nombreux bénéfices. Par exemple, avec un tel document, il vous sera possible d’attester que vous avez effectivement déposé le capital requis pour votre entreprise. De ce fait, vous renforcez quelque peu la crédibilité de votre entreprise aux yeux des investisseurs, des prêteurs et des partenaires potentiels. Dès ce moment, ces derniers auront davantage confiance dans votre entreprise et seront disposés pour conclure des affaires avec vous. Une preuve de solidité financière  L’attestation de dépôt de capital démontre que vous avez des ressources financières suffisantes pour soutenir vos activités commerciales. Tout comme dans le cas précédent, cela rassure les investisseurs et les prêteurs quant à votre capacité à rembourser les éventuels prêts et à maintenir la stabilité financière de votre entreprise. Excepté cela, ce facteur peut également contribuer à réduire les risques perçus associés à votre entreprise. Le renforcement de la confiance  Lorsque vous partagez votre attestation de dépôt de capital avec des partenaires potentiels, vous dissipez tout type de doute à leur niveau. Cette façon de procéder renforcera la confiance entre les différentes parties. En réalité, ce que les investisseurs et les partenaires commerciaux recherchent, c’est que vous fassiez preuve de transparence. Votre attestation de dépôt représente une preuve tangible de cette honnêteté et de votre engagement financier. Cela peut faciliter les négociations, les partenariats et les collaborations bénéfiques. Une facilité d’accès aux financements  Avec votre attestation de dépôt de capital, votre entreprise peut aisément décrocher des financements pour son essor. Généralement, les entreprises n’obtiennent pas de financement, car elles ne prouvent pas leur crédibilité et leur capacité à rembourser leurs prêts. Mais avec l’attestation de dépôt de capital, ce problème est résolu. En réalité, de nombreux investisseurs et prêteurs exigent ce document lorsqu’ils examinent les demandes de financement. Ainsi, en fournissant une preuve claire de votre capital déposé, vous augmentez vos chances d’obtenir des financements nécessaires pour démarrer ou développer votre entreprise. Le respect des exigences légales  Dans de nombreux pays, déposer un capital minimum est une exigence légale pour la création d’entreprises, en particulier pour les sociétés par actions. L’attestation de dépôt de capital prouve que vous avez respecté ces exigences et que votre entreprise est en conformité avec la réglementation en vigueur. Avec ce type de statut, vous pouvez facilement prévenir les problèmes juridiques potentiels et établir une base solide pour le bon fonctionnement de votre entreprise.

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La loi n’interdit pas aux créateurs d’un société civile immobilière (SCI) de constituer un capital social d’un très faible montant. Contrairement à une Société à Responsabilité Limitée (SARL), une Société par Actions simplifiée (SAS) ou une Société Anonyme (SA), une société Civile Immobilière (SCI) n’a pas de vocation commerciale (comme l’impose le terme « civil » dans sa dénomination). Ce type de structure est fondé par des associés (au moins deux) en vue d’administrer un patrimoine immobilier, et d’en gérer les revenus (et non de revendre les biens qui le constituent, locaux professionnels ou logements). Pas de délai pour la libération des apports En revanche, comme toute société, ses dirigeants sont tenus de constituer un capital social. Cette obligation n’est pas en soi contraignante, dans la mesure où la Loi n’impose pas de seuil : une « mise » d’un euro symbolique suffit pour être en règle au regard du droit. En outre, contrairement aux autres formes juridiques, les textes officiels ne décrètent aucun délai sous lequel l’ensemble des sommes souscrites au capital doivent être versées sur le compte de la SCI : autrement dit, ses dirigeants n’ont pas à injecter d’apport minimal lors de la création de la structure, ni à verser le solde dans les cinq ou dix ans (contrairement à une SAS où 50% des montants sont exigés au démarrage, 20% dans le cas d’une SARL). Tout capital social – et cela vaut aussi pour une SCI – est constitué d’argent (numéraire) et/ou de biens matériels (équipements, actifs immobiliers). Son montant, faible ou élevé, doit correspondre aux objectifs définis par les associés : s’il s’agit de s’appuyer sur la SCI pour acquérir un immeuble, les ressources à capitaliser seront, de fait, très importantes. Si la SCI compte limiter son champ d’action à la gestion d’un bien déjà existant, les besoins financiers initiaux seront moindres. Toutefois, rares sont les dirigeants de SCI à opter pour un capital social de quelques centaines d’euros. Les raisons sont simples :L’addition de ces apports est censée refléter la valeur du patrimoine détenu par la société et constitue, à ce titre, une garantie pour les banques. Son niveau sera donc décisif quand viendra le moment de solliciter un prêt auprès d’elles. Un capital fixe ou variable Le capital peut permettre de couvrir les importants frais de gestion générés par un bien immobilier (entretien d’un bâtiment, par exemple).Un montant trop faible rend plus difficile la conversion en parts sociale : imaginez un capital de 10 euros à diviser entre trois associés ! En outre, le risque de payer de très lourds impôts sur les plus-values en cas de revente est souvent très dissuasif. Rappelons que capital social d’une SCI peut être fixe ou variable : son montant et les modalités choisies sont à renseigner dans les statuts constitutifs. Ceux-ci doivent mentionner : • le niveau global du capital et celui des apports dont il est constitué;• la valeur des parts sociales ;• les conditions choisies pour le versement des apports en numéraire ;• l’estimation

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Comme les dirigeants de toutes les formes de sociétés, les gérants d’une Société à Responsabilité Limitée (SARL) sont tenus de constituer un capital social. Combien faut-il abonder pour être en règle ? A l’exception de la Société Anonyme (SA) et des sociétés en commandite par actions (SCA), qui se voient imposer par la Loi un capital social minimum de 37 000 euros, les entreprises créées sous forme sociétaire sont libres d’injecter un montant nul ou, à tout le moins, très symbolique (1 euro) nécessaire à l’ouverture d’un compte bancaire. C’est le cas pour les sociétés en nom collectif (SNC), mais aussi pour les EURL (Entreprise Unipersonnelle à Responsabilité Limitée). Aucun seuil n’a été décrété non plus pour les SAS (sociétés par actions simplifiées), les SASU (Sociétés par actions simplifiées) et les SARL (Société à responsabilité Limitée). Un capital social d’…un euro ? Pour cette dernière comme pour toutes les autres, l’alinéa 4 de l’article L.223-1 du Code de commerce oblige les gérants à inscrire le montant du capital « sur tous les actes ou documents sociaux à destination des tiers ».Rien n’empêche donc les dirigeants d’une SARL de monter un capital social nul (ils se doivent toutefois d’en créer un, comme le leur commandent les textes officiels). Ce choix de ne rien injecter (ou presque) dans leur entreprise présente-t-il un quelconque intérêt stratégique et/ou économique ? Pas toujours. Pour au moins deux raisons : les banques d’abord sont, par sécurité, plus enclines à accorder un crédit professionnel à un SARL qui dispose d’un capital social conséquent. C’est une considération à prendre en compte lorsque la société ambitionne de recourir à des fonds extérieurs pour engager un investissement.L’autre risque est de nature plus juridique : en cas de de faillite, la responsabilité des associés est potentiellement engagée si les faits démontrent que la défaillance de l’entreprise est liée au trop faible montant de leurs apports respectifs. 20% du capital social à verser immédiatement Rappelons que le capital social représente, non pas la valeur « nominale » de l’entreprise, mais son assise financière. Le montant de cette « mise », le plus souvent composé d’argent (des biens matériels peuvent aussi être comptabilisés) détermine aussi la gouvernance de la structure et la répartition des prérogatives entre les associés (entre 2 et 100 dans le cas d’une SARL). Le fonds est d’ailleurs divisé en « titres » (actions ou parts sociales) attribués à chacun d’eux à hauteur de son engagement financier. Lors de la création de la SARL, seuls 20% des montants souscrits sont exigés (le solde doit être versé sur le compte de la société dans les cinq ans).

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La loi est peu contraignante sur le montant des apports que chaque associé doit obligatoirement injecter dans l’entreprise. A quoi sert un capital social ? A la différence des auto-entreprises et des EIRL (entreprise individuelle à Responsabilité Limitée), les entreprises montées en société – quelle que soit leur forme précise – sont tenus de constituer un capital social. Ce fond représente, non pas la valeur stricto sensu, mais l’assise financière de la structure, autant qu’il détermine sa gouvernance.Il est en effet très souvent composé d’argent, des sommes investies par chacun des associés qui prennent part au projet. Toutefois des apports en nature matériels (immeuble, équipements) ou immatériels (fonds de commerce, brevet) sont aussi comptabilisables dans la capital d’une société. Juridiquement, son montant est divisé en « titres » (actions ou parts sociales) attribués à chacun des associés à hauteur de son engagement financier. S’il est obligatoire pour toute société de constituer une telle ressource, la loi est très souple sur le niveau des mises de fonds à verser dans son panier. Autrement dit, rien n’empêche les gérants de ces entreprises de former un capital social avec…rien ou presque. Quel capital social à la création d’entreprise ? C’est le cas pour les SARL (Société à responsabilité), les sociétés en nom collectif (SNC) et les EURL (Entreprise Unipersonnelle à Responsabilité Limitée): les textes officiels n’imposent pas de minimum obligatoire à aucune de ces deux structures, si ce n’est l’injection très symbolique d’un euro symbolique pour ouvrir le compte bancaire. Même absence de seuil pour les SAS (sociétés par actions simplifiées) et les SASU (Sociétés par actions simplifiées).Finalement, seules les sociétés anonymes (SA) et les sociétés en commandite par actions (SCA) se doivent de remplir un critère : une somme d’au moins 37 000 euros est à capitaliser, avec le choix cependant de verser intégralement ou non les participations dès la création.Ces « libérations d’apports » (soit le moment où l’argent arrive sur le compte de la société) sont, elles aussi, soumises à des règles assez peu contraignantes : seuls 20% des montants souscrits sont demandés lors de la constitution d’une SARL, 50% s’il s’agit d’une SAS ou d’une SASU (dans tous les cas, le solde doit être versé dans les cinq ans). Constituer un capital social pas ou très peu pourvu (avec un ou quelques dizaines euros) est une opération qui présente davantage de risques que d’intérêts : pour les banques, auxquelles les entrepreneurs recourent très souvent pour financer leurs investissements, le niveau de ressources de la société constitue une garantie qui conditionne l’octroi d’un prêt professionnel. Enfin, en cas de de faillite, la responsabilité des associés peut être engagée s’il s’avère que la défaillance de l’entreprise est liée au trop faible montant de leurs apports respectifs.

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Dans le monde de l’entreprise, le financement est un sujet crucial. La trésorerie est le cœur qui fait battre le pouls de l’entreprise. Sans elle, aucun projet d’entreprise ne pourrait voir le jour. Alors, quelle est la meilleure option pour financer une entreprise ? Quels sont les modes de financement disponibles pour les entrepreneurs ? Comment choisir le meilleur moyen pour financer votre projet de création d’entreprise ? Découvrons ensemble les différentes options qui s’offrent à vous. Les financements bancaires : un choix courant Lorsqu’il s’agit de financement pour l’entreprise, l’option la plus répandue est le financement bancaire. Comme l’indique Avenir Entreprises, les banques sont souvent perçues comme le premier recours pour obtenir un prêt ou un crédit. En effet, elles proposent une grande variété de prêts, du crédit à court terme au crédit d’investissement à long terme. Le prêt bancaire est généralement contracté pour financer les besoins en fonds de roulement ou les investissements matériels. Il peut s’agir d’un prêt à taux fixe ou variable, en fonction des préférences et de la situation financière de l’entreprise. Une autre option bancaire est le crédit-bail. Il s’agit d’un contrat de location avec une option d’achat offert par une banque ou une société de financement. Cette formule permet à l’entreprise de louer un bien et de l’acquérir à la fin du contrat si elle le souhaite. L’apport en capital : une option souvent privilégiée L’apport en capital est une autre option pour financer une entreprise. Il peut prendre plusieurs formes : l’apport personnel, le capital risque ou le capital social. L’apport personnel est le premier financement auquel pense généralement un entrepreneur. Il s’agit de l’argent que l’entrepreneur met de sa poche dans le projet d’entreprise. C’est un signe fort pour les autres investisseurs, qui voient que l’entrepreneur est prêt à investir personnellement dans son projet. Le capital risque est une forme d’investissement dans une entreprise en phase de démarrage ou de croissance. Les fonds de capital risque sont gérés par des professionnels qui investissent l’argent de leurs clients dans des entreprises prometteuses. Le capital social est la somme des apports en nature (biens, matériels) et en numéraire (argent) que les associés mettent à disposition de la société lors de sa création ou lors d’une augmentation de capital. Le financement participatif : une tendance en vogue Le financement participatif, aussi appelé crowdfunding, est une nouvelle tendance qui a gagné en popularité ces dernières années. Il permet à des particuliers de financer des projets d’entreprises en échange de récompenses, de participations ou de prêts. Il existe plusieurs plateformes de financement participatif, chacune avec ses propres spécificités. Certaines se spécialisent dans le prêt aux entreprises, d’autres dans l’investissement en capital. Le financement participatif est une option intéressante pour les entrepreneurs qui cherchent à lever des fonds sans passer par des voies traditionnelles comme les banques ou les investisseurs en capital risque. Les investisseurs privés : les Business Angels L’option de l’investisseur privé, ou Business Angel, est une autre solution de financement à considérer. Les Business Angels sont des individus fortunés qui investissent une partie de leur

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Sur un an, la hausse est de +15%, malgré une baisse de nombre de projets financés. L’investissement privé peine encore à s’inscrire dans les mœurs de l’entrepreneuriat français : pourtant, le réseau national des Business Angels a déployé une belle activité l’an dernier. D’après les données recueillies auprès de l’instance qui les fédère (5 500 membres), ces partenaires financiers ont injecté 45 millions d’euros dans l’économie en 2019, un montant en hausse de +15% sur un an. Le résultat est d’autant plus remarquable que le nombre de bénéficiaires de ces fonds s’est, lui, orienté à la baisse (422 opérations, contre 455 en 2018). Traduction : les BA ont un peu resserré leur périmètre mais misé des sommes plus importantes auxquelles s’est ajoutée une manne globale de 107 millions d’euros versés dans la cadre de co-investissements réalisés avec des acteurs indépendants, ou articulés à des subventions publiques (d’Etat ou Régionales). Capital risque à la française Rappelons que les business angels interviennent au moment le plus délicat de la création d’entreprise (souvent en phase d’amorçage). Cette prise de risque certaine est toutefois tempérée par le principe même de cet investissement fondé sur une logique de « réseau » et même familiale (dans le cas d’un « family office »): leurs opérateurs ne sont ni des prédateurs ni des joueurs de casino. Il s’agit très souvent d’anciens dirigeants ou des cadres supérieurs dont la réussite professionnelle leur a permis de se constituer un patrimoine qu’ils cherchent à mettre à profit dans des secteurs économiques qu’ils connaissent déjà. Leur rôle ne se limite pas à des prises de participation au capital. Il se complète par un investissement « humain » et un accompagnement stratégique des entrepreneurs qui cherchent à engager une stratégie de développement. Ce système, encore assez peu répandu en France par rapport aux pays anglo-saxons, bénéficie depuis 2008 (et la Loi TEPA) d’un environnement fiscal plus incitatif, auquel s’est ajouté, dix ans plus tard, la suppression de l’impôt de solidarité de la Fortune sur la revente de valeurs mobilières. D’après les chiffres recueillis sur l’exercice 2019, il apparaît que les Business Angels investissent surtout dans le secteur des nouvelles technologies et du numérique ( 34 % du total des projets et des sociétés financées). Suivent la santé et la biotechnologie (18 %) et les biens de consommation (14%). Les produits et services industriels ont représenté 12% des investissements, les transports 10% et l’énergie cleantech 6%.

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