Tester son projet de création d’entreprise avec le CAPE !

La création d’entreprise n’est pas sans risques, mais les solutions se multiplient pour les limiter au maximum. Exemple avec le Contrat d’Appui au Projet D’entreprise (CAPE).

Principe

Lorsque le créateur signe ce contrat, une association lui fournit un programme pour qu’il se prépare à créer son entreprise. En fait, le fait de signer le CAPE offre au créateur un cadre juridique pour son entreprise, il peut donc commencer à exercer son activité et à songer à s’immatriculer au Registre du Commerce et des Sociétés.

Le créateur acquiert un statut spécial, et bénéficie d’un accompagnement adapté, dans une couveuse, un incubateur ou toute autre structure d’accueil de ce genre. Il peut ainsi monter son projet sereinement. Grâce à la structure dans laquelle il monte son entreprise, il peut effectuer un test « grandeur nature » de son activité et du fonctionnement de son entreprise.

2. Pour qui ?

Pour qui ?

Tous les créateurs peuvent bénéficier du CAPE, quel que soit leur âge, leur statut et leur formation. Cependant, la mise en place de l’activité ne doit pas nécessiter de gros frais, et c’est pour cela que les CAPE sont souvent mis en place dans le cas d’activités liées aux services.

3. Fonctionnement

Fonctionnement

Ce contrat est valable pour une durée de 1 an, renouvelable 2 fois. Le créateur sera alors considéré comme un salarié de la structure qui l’accueille. Néanmoins, comme le CAPE n’est pas un contrat de travail, le créateur n’est pas considéré comme un « véritable » salarié, même s’il bénéficie de leurs droits sociaux. Il peut être rémunéré selon les termes du contrat qu’il a négocié. Cependant, dès que les revenus de son entreprise le lui permettront, il devra s’immatriculer, et donc la gestion de son entreprise deviendra son acticité principale.

Post author

Journaliste de formation, j'occupe actuellement la fonction de rédacteur au sein du réseau des sites Internet de services aux entreprises du groupe Libbre. Je peux justifier d'une expérience de six ans dans la presse quotidienne angevine au sein de trois quotidiens : la Nouvelle République, Ouest-France puis le journal majoritaire en Maine-et-Loire : le Courrier de l'Ouest (2007-2009).

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