L’expédition de colis est un service majeur pour les entreprises du e-commerce. Dans un secteur hyper-concurrentiel, beaucoup d’enseignes tentent d’en faciliter la gestion pour gagner en compétitivité. Avec quels leviers ? Depuis la préparation de commande jusqu’à sa livraison finale, la gestion de l’ensemble de la chaîne logistique représente un poste de dépenses important pour les entreprises qui cherchent à satisfaire au mieux les attentes de leur clientèle. Leur objectif ? Proposer un service rapide, fiable et transparent qui ne pèse pas trop lourd dans leur budget de fonctionnement. Une bonne gestion des opérations s’impose avec d’autant plus d’acuité que le moindre dysfonctionnement constitue une source de litige potentielle avec un destinataire mécontent d’avoir réceptionné un colis abîmé ou arrivé hors délai. Pour pallier à l’ensemble de ces inconvénients et réduire les impondérables, de nouveaux outils ont été lancés sur le marché du e-commerce. Ils visent à faciliter la tâche des enseignes soucieuses de tenir leur rang dans un contexte économique rendu difficile par la guerre des prix. Dès 2012, deux entrepreneurs européens, l’un de nationalité française, l’autre d’origine espagnole, ont créé Packlink, une plateforme dématérialisée capable de centraliser les offres les plus attractives dans le domaine de la logistique. Depuis, le logiciel, devenu Packlink PRO, a encore évolué de manière à répondre avec davantage de réactivité aux attentes spécifiques des TPE-PME en quête de simplification. Accords avec les transporteurs L’un des principaux atouts de la plateforme repose sur son comparateur qui déroule les meilleures propositions des transporteurs à partir des données saisies au préalable par l’utilisateur. Est alors délivré un devis (gratuit) qui prend en compte le poids et les dimensions du pli, du colis ou de la palette, son lieu, sa date d’enlèvement et de livraison, ainsi que sa destination. Les formules sélectionnées proposent des tarifs préférentiels conformes aux accords que Packlink a signés avec les principaux acteurs du marché du transport, dont Colissimo, Chronopost, Mondial Relay, UPS, DHL ou TNT. Le montant des prestations dépend à la fois des temps de transit et du type de service demandé (enlèvement, point-relais, porte-à-porte). Grâce son système de gestion de données, la plateforme assure une gestion centralisée de toutes les expéditions effectuées en France et à l’international. Muni d’un numéro de suivi personnalisé, le client accède à un historique très complet de son stock d’envois et gère en direct la totalité du processus.

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L’entreprise est aujourd’hui amenée à évoluer rapidement, en s’adaptant aux nouvelles tendances  telles que l’agilité. Tout ceci pour répondre aux besoins du consommateur. Évolution positives des techniques managériales en entreprise avec l’agilité L’agilité amène les entreprises à réviser et à faire évoluer leurs techniques managériales. Cette nouvelle stratégie est tout le contraire de ce qui se faisait depuis l’émergence de la société de consommation. Dans les années 60, l’entreprise était considérée comme un bloc unique, ayant une hiérarchie et une structure centralisée. Aujourd’hui, elle s’apparente plutôt à un ensemble de plusieurs unités. Ces dernières sont très connectées entre elles et partagent les mêmes valeurs, les mêmes processus et n’ont qu’un but, celui d’évoluer dans la même direction. L’échange et le partage d’informations entre ces entités se font très rapidement. On parle d’avancée technologique, en matière de gestion interne comme en matière de gestion de relation client. Le logiciel agile va dans cette même perspective d’évolution. Essai de définition de l’agilité en entreprise L’agilité dans une entreprise est une notion complexe. Ces définitions ne manquent pas. En effet, chaque expert ou consultant de logiciel agile définit à sa manière le terme, suivant le cadre de référence de son expertise. Ceci étant, l’agilité n’a donc pas une mais plusieurs définitions, qui apportent chacune un point de vue différent à un même sujet. Toutefois, la carte de l’organisation propose une définition basée sur quatre axes d’évolutions. On parle ainsi de la montée : –    de la complexité –    de l’individualité (reconnaissance de la compétence de chacun à penser et agir, consommateur ou producteur) –    de l’incertitude, qui implique le besoin d’anticiper dans le but d’améliorer les capacités de réaction de chaque individu. Le fait d’anticiper permet en effet de mieux se préparer à chaque éventualité et donc de pouvoir réagir rapidement le moment venu. –    de l’interdépendance, qui sous-entend un esprit de partage du pouvoir. On parle ici de coopération croissante entre acteurs privés et publics. Comment détecter un besoin d’agilité ? Dans les petites entreprises, certains signes peuvent aider à la détection d’un besoin d’agilité. On peut ainsi en dresser une liste, non exhaustive : –    baisse de créativité ou de rythme de production de nouveaux services ou produits ; –    absence du produit ou du service apprécié par les consommateurs sur le marché ; –    diminution des performances globales ; –    émergence d’une nouvelle concurrence avec de nouvelles approches plus efficaces, qui menace l’activité ; –    manque de véritables engagements des collaborateurs S’inspirer des méthodes agiles en informatique Dans le domaine informatique, la notion d’agilité n’est pas une nouveauté. D’ailleurs, le manifeste agile a été clairement destiné à une gestion des projets informatiques. Parmi les 12 principes énoncés dans ce manifeste pour le logiciel comme la méthode scrum, trois ont une portée générale, valables pour les petites entreprises. Le premier s’intéresse à la satisfaction client, en livrant de manière régulière et rapide des fonctionnalités à grande valeur ajoutée. Le second principe énonce le fait d’accueillir positivement les changements de besoins, même

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Des outils de pilotage automatiques facilitent la tâche quotidienne des très petites entreprises. La gestion des factures et la stricte observance des obligations comptables imposent un défi quasi quotidien aux chefs d’entreprise, souvent livrés à eux-mêmes face à la lourdeur des démarches administratives. L’émergence de nouvelles technologies nées d’internet a, de fait, engendré un premier choc de simplification qui s’est traduit par une dématérialisation des ressources. Les nouvelles opportunités offertes par le numérique ont, parallèlement, permis de développer de nouveaux logiciels connectés capables d’alléger le quotidien des entreprises en automatisant  les procédures. Données synchronisées avec la banque En matière de comptabilité, la solution en ligne Fizen s’adresse principalement aux TPE, artisans, commerçants, entrepreneurs et professions libérales souvent à court de personnel pour prendre en charge ces tâches fastidieuses et chronophages. Accessible depuis n’importe quel terminal (ordinateur, smartphone, tablette), ce logiciel de gestion entièrement sécurisé  se distingue de beaucoup d’autres en ceci qu’il propose un service de synchronisation avec  plus de 230 banques.  Grâce à cette fonctionnalité, les données comptables sont mises à jour en temps réel à mesure que les opérations sont réalisées : virements, dépenses, recettes, impôts…L’automatisation du processus permet ainsi à l’utilisateur d’accéder à sa plateforme Fizen comme s’il consultait les relevés de sa banque en ligne. Dès la connexion, l’outil déroule un tableau de bord qui restitue sous forme de graphiques l’état des principaux indicateurs de l’entreprise : suivi du chiffre d’affaires, niveau de la trésorerie, prévisionnel des gros postes de dépenses, ratios-clés, principaux encaissements et décaissements, factures en attente de paiement. Grâce à ce baromètre, le dirigeant dispose, à volonté, « d’une vision  globale de la situation financière de son entreprise » souligne la société d’expertise comptable ECL Direct, utilisatrice de l’outil de pilotage Fizen Expert. La plateforme en ligne offre aussi la possibilité à ses utilisateurs d’éditer eux-mêmes leurs devis et factures en quelques clics, par voie d’impression ou par téléchargement au format PDF. La gestion des notes de frais et dépenses professionnelles s’effectue tout aussi simplement à l’aide d’une application mobile dédiée. Une fois  le ticket de caisse enregistré sur le smartphone,  son intégration se fait automatiquement  dans les documents comptables actualisés par Fizen : reste à en indiquer la nature et le montant. « Avec ce système automatisé,  il n’y a aucune donnée à saisir, aucune connaissance comptable à avoir et aucun rapprochement bancaire à faire » promet ECL Direct.

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Comme toutes les entreprises, les adhérents au régime simplifié vont de voir s’équiper d’un logiciel anti-fraude à la TVA sous peine de se voir infliger une amende de 7 500 euros. La nouvelle passe mal dans les rangs des micro-entreprises : à compter du 1er janvier 2018, celles qui établissent des factures ou des devis par informatique devront mettre à jour leur outil ou investir dans un nouveau logiciel de comptabilité répondant aux normes de sécurité définies par les mesures anti-fraude à la TVA incluses dans la loi de Finances 2016. La comptabilité sur papier maintenue A leur grande surprise, les auto-entrepreneurs ont appris qu’ils étaient concernés par cette obligation, alors que leur statut leur permet, en pratique, de déduire de leurs tarifs la taxe sur la consommation. L’administration englobe en effet dans le dispositif « toutes les personnes physiques ou morales, de droit privé ou de droit public, qui enregistrent eux-mêmes les règlements de leurs clients, y compris ceux dont tout une partie des opérations réalisées sont exonérées de TVA ». Prise de court, la Fédération des Auto-Entrepreneurs tente, depuis cette annonce, de faire pression sur le gouvernement pour que cette mesure ne s’applique pas au régime simplifié. D’après les informations recueillies par la Fedae, les auto-entrepreneurs qui tiennent leur comptabilité à la main (sur un registre papier) devraient pourvoir échapper à la règle. Les autres en revanche devront mettre leur matériel aux normes, sous peine d’une amende de 7500 euros. Rappelons que les logiciels à installer devront, au regard de la Loi, répondre aux nouveaux standards de « sécurisation, d’inaltérabilité, de conservation et d’archivages de données ». l’objectif étant de bannir les systèmes de caisse qui permettent d’effacer certaines ventes pour passer entre les mailles du filet de la TVA. La conformité du nouveau logiciel devra être justifiée par un certificat délivré par un organisme accrédité, ou par une attestation délivrée par l’éditeur du logiciel informatique.

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La bonne idée et la détermination sont des éléments déclencheurs lors d’un lancement d’activité. Même si elles sont bien évidemment des conditions sine qua non, elles doivent être accompagnées de bonnes pratiques pour assurer un lancement réussi : aides financières, business plan, comptabilité, équipement, réseautage… Autant d’enjeux déterminants pour vous aider à bien vous lancer. Voici donc quelques conseils pour appréhender son lancement d’activité dans les meilleures conditions possibles. A vous de jouer !

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